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魔法の鏡・共感覚・盲者の記憶:モリヌークス問題からジッド『田園交響楽』を読む(22)

22.

生まれながらに盲目であった人間が視覚を得たときに何が起こるかという問題について直ちに思い浮かぶのは、ジョン・ロックが「人間悟性論」第2版 (John Locke, "An Essay Concerning Humane Understanding", 2nd ed., 1694)で取り上げている 問題、「手で立方体と球体を識別することを学んだ生まれつき盲人であった者が視力を得たとき、触覚に頼らずに両者の判別が可能か」という問いだが、 これはもともとロックの友人であり、妻が盲人であったウィリアム・モリヌーの提起した問題であった。これは「モリヌー問題」あるいは「モリヌーク(ス)問題」として 知られている、18世紀の哲学(認識論)論争上著名なもので、その後も、ライプニッツ、バークリーによってもとりあげられ、ジッドがその名前とこれまた 著名な「感覚論」での思考実験への言及をしているコンディヤックも取り上げているのだ。一般には、知覚認識は経験からくるとするロックとバークリーは視力を得たばかりの 盲人は二つの物体を識別できないとし、幾何学的な認識は経験にはよらないとするライプニッツは盲人は物体を識別できると考え、これがいわゆる経験論と 合理論の対立を示すものと説明されることが多いが、実際の議論はもう少し錯綜としており、例えばコンディヤックは最初にこの問題を扱った 「人間認識起源論」において、後の「感覚論」におけるような経験論的な立場を必ずしも徹底していないが、それ以上に、実在形象と観念を結びつける以前に、 まず様々のものを識別すること自体にある習熟が必要なことを示唆している点が興味深い。結局のところ、既に経験として保持している触覚に基づく空間の認知と、 開眼後に新たに遭遇した色彩と明るさと形態の奥行きのない混沌とを結びつける課題に取り組まないといけないというのは、決して間違ってはいないのだ。

ジョージ・バークリーにはその名もずばり「視覚の新理論」(George Berkeley, "An Essay Towards a New Theory of Vision", 1709)という著作があり、 そこではロックの議論を引き継いで、触覚の世界と視覚の世界が必ずしも(つまりア・プリオリには) 関連していないという結論が述べられている。両者のカップリングが経験的に確立されるものだとバークリーは考えているのだが、この結論があくまでも思弁的に 導出されたものであったのに対して、1729年にはバークリーの結論が実地で裏付けられることになる。 13歳の白内障の少年が手術によって視覚を得たとき、最初は少年には距離、広がり、大きさの認識ができず、新たに得られた視覚的経験を触覚的認識と 結びつけることによって、徐々に視覚的認識を獲得していったのである。そしてそれらを踏まえて論争に一応の決着をつけたとされるのが、有名なディドロの 「盲人書簡」(Denis Diderot , "Lettre sur les aveugles à l’usage de ceux qui voient", 1749)であるとされているが、ジッドは何故かこれを無視している。

念のため事実関係を明らかにしておくと、ロックにウィリアム・モリヌー(モリヌークス)が手紙を書いたのは、1693年3月2日のことであり、ロックは 1694年刊の「人間悟性論」第2版の第2巻第9章「知覚について」で以下のように取り上げている。

To which purpose I shall here insert a problem of that very ingenious and studious promoter of real knowledge, the learned and worthy Mr. Molineux, which he was pleased to send me in a letter some months since; and it is this:—"Suppose a man BORN blind, and now adult, and taught by his TOUCH to distinguish between a cube and a sphere of the same metal, and nighly of the same bigness, so as to tell, when he felt one and the other, which is the cube, which the sphere. Suppose then the cube and sphere placed on a table, and the blind man be made to see: quaere, whether BY HIS SIGHT, BEFORE HE TOUCHED THEM, he could now distinguish and tell which is the globe, which the cube?" To which the acute and judicious proposer answers, "Not. For, though he has obtained the experience of how a globe, how a cube affects his touch, yet he has not yet obtained the experience, that what affects his touch so or so, must affect his sight so or so; or that a protuberant angle in the cube, that pressed his hand unequally, shall appear to his eye as it does in the cube."—I agree with this thinking gentleman, whom I am proud to call my friend, in his answer to this problem; and am of opinion that the blind man, at first sight, would not be able with certainty to say which was the globe, which the cube, whilst he only saw them; though he could unerringly name them by his touch, and certainly distinguish them by the difference of their figures felt. This I have set down, and leave with my reader, as an occasion for him to consider how much he may be beholden to experience, improvement, and acquired notions, where he thinks he had not the least use of, or help from them. And the rather, because this observing gentleman further adds, that "having, upon the occasion of my book, proposed this to divers very ingenious men, he hardly ever met with one that at first gave the answer to it which he thinks true, till by hearing his reasons they were convinced."

ロックの「人間悟性論」への応答として書かれたライプニッツの『人間悟性新論』(Gottfried Wilhelm Leibniz, "Nouveaux Essais sur l’entendement humain", 執筆は1701~3だが、出版は1765年であるため、直接には論争には寄与しなかった)での解答は、 De la perceptionの章の以下の部分である。

THÉOPHILE. Il me faudrait donner du temps pour méditer cette question, qui meparaît assez curieuse : mais puisque vousmepressez de répondre sur-le-champ, je hasarderai de vous dire entre nous que je crois que, supposé que l’aveugle sache que ces deux figures qu’il voit sont celles du cube et du globe, il pourra les discerner, et dire sans toucher : Ceci est le globe, ceci le cube.

PHILALÈTHE. J’ai peur qu’il ne vous faille mettre dans la foule de ceux qui ont mal répondu à M.Molineux. Car il a mandé dans la lettre qui contenait cette question que, l’ayant proposée à l’occasion de l’essai de M. Locke sur l’Entendement à diverses personnes d’un esprit fort pénétrant, à peine en a-t-il trouvé une qui d’abord lui ait répondu sur cela comme il croit qu’il faut répondre, quoiqu’ils aient été convaincus de leur méprise après avoir entendu ses raisons. La réponse de ce pénétrant et judicieux auteur est négative : car (ajoute-t-il), bien que cet aveugle ait appris par expérience de quelle manière le globe et le cube affectent son attouchement, il ne sait pourtant pas encore que ce qui affecte l’attouchement de telle ou telle manière doive frapper les yeux de telle ou telle manière, ni que l’angle avancé d’un cube, qui presse sa main d’une manière inégale, doive paraître à ses yeux tel qu’il paraît dans le cube. L’auteur de l’essai déclare qu’il est tout à fait du même sentiment.

THÉOPHILE. Peut-être que M. Molineux et l’auteur de l’ Essai ne sont pas si éloignés de mon opinion qu’il paraît d’abord, et que les raisons de leur sentiment contenues apparemment dans la lettre du premier, qui s’en est servi avec succès pour convaincre les gens de leur méprise, ont été supprimées exprès par le second pour donner plus d’exercice à l’esprit des lecteurs. Si vous voulez peser ma réponse, vous trouverez, Monsieur, que j’y ai mis une condition qu’on peut considérer comme comprise dans la question, c’est qu’il ne s’agisse que de discerner seulement, et que l’aveugle sache que les deux corps figurés qu’il doit discerner y sont, et qu’ainsi chacune des apparences qu’il voit est celle du cube ou celle du globe. En ce cas il me paraît indubitable que l’aveugle qui vient de cesser de l’être les peut discerner par les principes de la raison, joints à ce que l’attouchement lui a fourni auparavant de connaissance sensuelle. Car je ne parle pas de ce qu’il fera peut-être en effet et sur-le-champ, étant ébloui et confondu par la nouveauté ou d’ailleurs peu accoutumé à tirer des conséquences. Le fondement de mon sentiment est que dans le globe il n’y a pas de points distingués du côté du globe même, tout y étant uni et sans angles, au lieu que dans le cube il y a huit points distingués de tous les autres. S’il n’y avait pas ce moyen de discerner les figures, un aveugle ne pourrait pas apprendre les rudiments de la géométrie par l’attouchement. Cependant nous voyons que les aveugles-nés sont capables d’apprendre la géométrie, et ontmême toujours quelques rudiments d’une géométrie naturelle, et que le plus souvent on apprend la géométrie par la seule vue, sans se servir de l’attouchement, comme pourrait et devraitmême faire un paralytique ou une autre personne à qui l’attouchement fût presque interdit. Et il faut que ces deux géométries, celle de l’aveugle et celle du paralytique, se rencontrent et s’accordent et même reviennent aux mêmes idées, quoiqu’il n’y ait point d’images communes. Ce qui fait encore voir combien il faut distinguer les images des idées exactes, qui consistent dans les définitions. Effectivement ce serait quelque chose de fort curieux et même d’instructif de bien examiner les idées d’un aveugle-né, d’entendre les descriptions qu’il fait des figures. Car il peut y arriver, et il peut même entendre la doctrine optique, en tant qu’elle est dépendante des idées distinctes et mathématiques, quoiqu’il ne puisse pas parvenir à concevoir ce qu’il y a de clair-confus, c’est-à-dire l’image de la lumière et des couleurs.

ついでバークリーの「視覚の新理論」の第100節および第128節の一部および135節。バークリーは狭義のモリヌーが提示した問題を超えて、 一般に距離、大きさ、位置、事物の同定、運動などの知覚について問題にしている。

100. I know we are very prone to think that, if just made to see, we should judge of the situation of visible things as we do now: but we are also as prone to think that, at first sight, we should in the same way apprehend the distance and magnitude of objects as we do now: which hath been shown to be a false and groundless persuasion. (...)

128. (...) But it has been, if I mistake not, clearly made out that a man born blind would not at first reception of his sight think the things he saw were of the same nature with the objects of touch, or had anything in common with them; but that they were a new set of ideas, perceived in a new manner, and entirely different from all he had ever perceived before: so that he would not call them by the same name, nor repute them to be of the same sort with anything he had hitherto known.

135. I cannot let go the above-mentioned problem without some reflexion on it. It hath been evident that a man blind from his birth would not, at first sight, denominate anything he saw by the names he had been used to appropriate to ideas of touch, VID. sect. 106. Cube, sphere, table are words he has known applied to things perceivable by touch, but to things perfectly intangible he never knew them applied. Those words in their wonted application always marked out to his mind bodies or solid things which were perceived by the resistance they gave: but there is no solidity, no resistance or protrusion, perceived by sight. In short, the ideas of sight are all new perceptions, to which there be no names annexed in his mind: he cannot therefore understand what is said to him concerning them: and to ask of the two bodies he saw placed on the table, which was the sphere, which the cube? were to him a question downright bantering and unintelligible; nothing he sees being able to suggest to his thoughts the idea of body, distance, or in general of anything he had already known.

ついでだから、ジッドが皮相な(しかも、ほとんど実質を伴わない)言及をしているコンディヤックの主張を見てみよう。 1746年に刊行された処女作「人間認識起源論」(Étienne Bonnot de Condillac, "Essai sur l’origine des connaissances humaines", 1746)第一の手帖第6章 "DE QUELQUES JUGEMENTS QU’ON A ATTRIBUÉS À L’ÂME, SANS FONDEMENT, OU SOLUTION D’UN PROBLÈME DE MÉTAPHYSIQUE." において、以下のように述べているのである。

Cet aveugle s’est formé des idées de l’étendue, des grandeurs etc., en réfléchissant sur les différentes sensations qu’il éprouve, quand il touche des corps. Il prend un bâton dont il sent que toutes les parties, ont une même détermination ; voilà d’où il tire l’idée d’une ligne droi-te. Il en touche un autre, dont les parties ont différentes détermina-tions, en sorte que si elles étaient continuées, elles aboutiraient à diffé-rents points ; voilà d’où il tire l’idée d’une ligne courbe. De là il passe à celles d’angle, de cube, de globe et de toutes sortes de figures. Telle est l’origine des idées qu’il a sur l’étendue. Mais il ne faut pas croire qu’au moment qu’il ouvre les yeux, il jouisse déjà du spectacle que produit dans toute la nature ce mélange admirable de lumière et de couleur. C’est un trésor qui est renfermé dans les nouvelles sensations qu’il éprouve ; la réflexion peut seule le lui découvrir et lui en donner la vraie jouissance. Lorsque nous fixons nous-mêmes les yeux sur un tableau fort composé, que nous le voyons tout entier, nous ne nous en formons encore aucune idée déterminée. Pour le voir comme il faut, nous sommes obligés d’en considérer toutes les parties les unes après les autres. Quel tableau, que l’univers, à des yeux qui s’ouvrent à la lumière pour la première fois !
Je passe au moment où cet homme est en état de réfléchir sur ce qui lui frappe la vue. Certainement tout n’est pas devant lui comme un point. Il aperçoit donc une étendue en longueur, largeur et profondeur. Qu’il analyse cette étendue, il se fera les idées de surface, de ligne, de point et de toutes sortes de figures : idées qui seront semblables à cel-les qu’il a acquises par le toucher ; car, de quelque sens que l’étendue vienne à notre connaissance, elle ne peut être représentée de deux ma-nières différentes. Que je voie ou que je touche un cercle et une règle, l’idée de l’un ne peut jamais offrir qu’une ligne courbe, et celle de l’autre qu’une ligne droite. Cet aveugle-né distinguera donc à la vue le globe du cube, puisqu’il y reconnaîtra les mêmes idées qu’il s’en était faites par le toucher.

ついでコンディヤックの「感覚論」(1754)の第3部第4章 "Pourquoi on est porté à attribuer à la vue des idées qu’on ne doit qu’au toucher. Par quelle suite de réflexions on est parvenu à détruire ce préjugé" におけるこれらの問題に関する総括を見てみよう。

モリヌー(およびロック)に対するコメント。

Molyneux, en proposant un problème qui a donné occasion de dé-velopper tout ce qui concerne la vue, paraît n’avoir saisi qu’une partie de la vérité. (...) D’ailleurs, ils (=Molyneux et Locke :引用者注) auraient dû raisonner sur les distances, les situations et les grandeurs, comme sur les figures ; et conclure, qu’au moment où un aveugle-né ouvrirait les yeux à la lumière, il ne jugerait d’aucune de ces choses.

バークリーに対するコメントおよびこの問題に関するコンディヤックのまとめは以下の通りである。

Le docteur Barclay est le premier qui ait pensé que la vue par elle-même ne jugerait d’aucune de ces choses.
Une autre conséquence qui n’aurait pas dû échapper à Locke, c’est que des yeux sans expérience, ne verraient qu’en eux-mêmes la lumiè-re et les couleurs ; et que le tact peut seul leur apprendre à voir au-dehors.
Enfin, Locke aurait dû remarquer qu’il se mêle des jugements dans toutes nos sensations, par quelque organe qu’elles soient transmises à l’âme. Mais il dit précisément le contraire.
Tout cela prouve qu’il faut bien du temps, bien des méprises et bien des demi-vues, avant d’arriver à la vérité. Souvent on est tout au-près, et on ne sait pas la saisir.

最後に(哲学上の)論争の一応の終止符を打ったとされるディドロの「盲人書簡」の当該部分を見てみることにしよう。ちなみに、コンディヤックは このディドロの「盲人書簡」を受けて、1754年に、著名な人形の思考実験の形式による「感覚論」を執筆することになる。また、ディドロの文章中にある 「Cheseldenの有名な実験」というのは、既に上で触れた、1729年にイギリス人医師が行った13歳の白内障の少年の開眼手術後の実験のことである。 当時フランスでは既にヴォルテール等の紹介により人口に膾炙していたらしい。

La question de l’aveugle-né, prise un peu plus généralement que M. Molineux ne l’a proposée, en embrasse deux autres que nous allons considérer séparément. On peut demander : 1° si l’aveugle-né verra aussitôt que l’opération de la cataracte sera faite ; 2° dans le cas qu’il voie, s’il verra suffisamment pour discerner les figures ; s’il sera en état de leur appliquer sûrement, en les voyant, les mêmes noms qu’il leur donnait au toucher ; et s’il aura la démonstration que ces noms leur conviennent.
(...)
On ajoute à ces raisonnements les fameuses expériences de Cheselden. Le jeune homme à qui cet habile chirurgien abaissa les cataractes ne distingua, de longtemps, ni grandeurs, ni distances, ni situations, ni mêmes figures. Un objet d’un pouce mis devant son oeil, et qui lui cachait une maison, lui paraissait aussi grand que la maison. Il avait tous les objets sur les yeux ; et ils lui semblaient appliqués à cet organe, comme les objets du tact le sont à ma peau. Il ne pouvait distinguer ce qu’il avait jugé rond, à l’aide de ses mains, d’avec ce qu’il avait jugé angulaire ; ni discerner avec les yeux si ce qu’il avait senti être en haut ou en bas, était en effet en haut ou en bas. Il parvint, mais ce ne fut pas sans peine, à apercevoir que sa maison était plus grande que sa chambre, mais nullement à concevoir comment l’oeil pouvait lui donner cette idée. Il lui fallut un grand nombre d’expériences réitérées pour s’assurer que la peinture représentait des corps solides : et quand il se fut bien convaincu, à force de regarder des tableaux, que ce n’étaient point des surfaces seulement qu’il voyait, il y porta la main, et fut bien étonné de ne rencontrer qu’un plan uni et sans aucune saillie : il demanda alors quel était le trompeur, du sens du toucher ou du sens de la vue. Au reste, la peinture fit le même effet sur les sauvages, la première fois qu’ils en virent : ils prirent des figures peintes pour des hommes vivants, les interrogèrent, et furent tout surpris de n’en recevoir aucune réponse : cette erreur ne venait certainement pas en eux du peu d’habitude de voir.
(...)
Il faut donc convenir que nous devons apercevoir dans les objets une infinité de choses que l’enfant ni l’aveugle-né n’y aperçoivent point, quoiqu’elles se peignent également au fond de leurs yeux ; que ce n’est pas assez que les objets nous frappent, qu’il faut encore que nous soyons attentifs à leurs impressions ; que, par conséquent, on ne voit rien la première fois qu’on se sert de ses yeux ; qu’on n’est affecté, dans les premiers instants de la vision, que d’une multitude de sensations confuses qui ne se débrouillent qu’avec le temps et par la réflexion habituelle sur ce qui se passe en nous ; que c’est l’expérience seule qui nous apprend à comparer les sensations avec ce qui les occasionne ; que les sensations n’ayant rien qui ressemble essentiellement aux objets, c’est à l’expérience à nous instruire sur des analogies qui semblent être de pure institution : en un mot, on ne peut douter que le toucher ne serve beaucoup à donner à l’oeil une connaissance précise de la conformité de l’objet avec la représentation qu’il en reçoit ;

ディドロがここで述べていることは、当時の実証的な実験観察の結果に基づいている。のみならず、ディドロが引用の冒頭で述べる2種の問題の区別は、 その後の研究によって適切なものであることがわかっているのである。 そしてそうした実証はその後、ジッドが「田園交響楽」を執筆している時代を経て今日に至るまで、積み重ねられてきているのである。既に上記の引用から 伺えるように、この一見単純そうに見える問題は、幾つもの非常に実証も困難なら、理論構成も難しい、興味深い問題を内部に抱えており、 今日でも、視覚心理学、認知科学、神経科学、ロボット工学といった分野の研究の対象で在り続けている。バークリーの著作が、当時急速に発達しつつ あった視覚に関する機械の刺激を受けて書かれたことを考えれば、問題意識は今日に至るまで一貫しているというように考えることもできるだろう。 下條が述べるように、今日に至るまでの科学的研究の結論は、「モリヌークスの問題」はそもそも不良設定問題であるというものであるとしても(だからこそ、ジッドの 物語の第二部は全くリアリティを欠いているのだが)、類似の問題についての研究は精力的に行われているのだ。 近年では、後にフレディーというロボットを開発することになるリチャード・グレゴリーの視覚研究が著名であろう。そこでは視覚のみならず、クロスモダリティー、 つまり異なる感覚領域による感覚の統合を行う能力の問題についても扱われているが、これが古くて新しい問題であることは、上記の引用によって明らかだろう。

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